~ GIVE YOUR HEART A BREAK

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everytime i try to fly without my wings
i feel so small, i guess i need you baby.

herzdieb@tumblr/ britney spears.

aleks (william) bethels

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nom(s) et prénom(s) Aleks, qui lui vient de sa grand-mère, et William de son père. Tous les hommes depuis trois générations ont ce deuxième prénom. Et finalement Bethels, qui lui vient de sa famille paternel. âge Vingt-cinq ans. lieu et date de naissance Il est à Los Angeles en Californie, un 6 Janvier. nationalité et origines Américain et des origines latines mais très loins dans son arbre généalogique. statut civil En couple avec Faye Oswald. statut monétaire Moyen $$. emploi/études Bientôt papa à temps pleins. traits de caractère charmant, anxieux, enfantin (immature), intelligent, soucieux, adorable, chiale pour un rien, protecteur, sensible.

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Tous le monde vous le dira, s'il y a bien une famille qui prime la valeur de la famille et du boulot payant: ce sont bien les Bethels. Leur mère est propriétaire d'un cabinet d'avocat et la plupart de ces enfants ont décidés de prendre cette voie. Leur père étant médecin, le reste est allé vers ce côté. Sauf bien sûr les moutons noirs ou les chouchous des parents. Dans la liste, il y avait l'aîné, Aleks Bethels, âgé de vingt-cinq ans. Suivait ensuite son autre frère, Elias Bethels, âgé de vingt-quatre ans. Les deux seuls garçons de la famille. Puis venait le tour des filles. Emily Bethels, vingt-deux ans et en dernier Adora Betherls, la cadette, vingt ans. Tous formaient cette famille uni, qui se réunissait tous les dimanches afin de prendre un déjeuner en famille. La plupart du temps, Madame Bethels préparait tout, les enfants parlant entre eux. Deux bandes s'étaient formé. Les enfants de Chris, Elias et Emily et les enfants de Susan, Aleks et Adora. Sans avoir pourquoi. Depuis la naissance de Adora, Aleks se sentait en charge de sa sécurité ayant lâché les deux autres depuis longtemps. Il restait tout de même protecteur envers eux. Elias avait été presque forcé de reprendre le cabinet de sa mère, poussé par son père qui s'était reconverti en avocat avec les années. Adora avait par après décidé de rentré à la FAQ en droit. Du côté de Aleks, il était devenu rapidement pompier, sa mère l'avait aussitôt encouragé dans cette voie, son père ne disant rien. Ils représentaient la photo de la famille unie et presque parfait: presque.
Les cloches retentirent, laissant sur le seuil de l'église une famille détruite. Tous étaient habillé de noir, des gens venant leur présenté leur condoléances, leur sympathies etc. La plupart n'en avait rien à foutre, sachant ce qui s'était réellement passé. Un des leurs étaient mort, parti. Elias. Le portrait qui se dressait aurait pu faire pleuré un sans coeur sans problème. La mère essayait de gardé son sang-froid, en écrasant la main de son mari qui tant qu'à lui avait le visage rouge de tristesse mais se retenait de pleuré aussi. Adora et Emily étaient collée l'une contre l'autre en pleurant à chaudes larmes, gémissant par ci et par là. Si au premier regard elles furent les plus touchés, Aleks montrait la sensibilité et la faiblesse que pouvait avoir les hommes. Il sortit de l'église et en voyant se portrait marcha vers ces soeurs qu'il prit dans ces bras, embrassant leur tête tour à tour. Les deux étreignirent Aleks, sachant que dorénavant ils ne seraient plus que trois et qu'il devrait assumé ces responsabilités d'aîné et de seul fils de la famille des Bethels. (...) « Il faut que tu sois fort pour ta famille, pour toi. Ils ne supporteront de perdre un autre de leur fils et frère. » Le meilleur ami d'Aleks était dans sa chambre, et essayait de le contraindre de ne pas lâcher l'affaire. De rester pour ces parents et ces soeurs. Il était le seul qui pourrait les protégé maintenant. Au fin fond de lui, il le savait. Tous ce que son ami lui disait était véridique. Ce n'était qu'une question de temps avant qu'il le comprenne.  « Comment tu veux que je continue hun? Il est mort. C'est terminé. » Tout était si frais. Elias s'était suicidé. Sa mort était vulgaire, et Aleks n'était pas capable d'entendre les gens raconté des potins sur la mort de Elias. Il était son frère après tout, et il ne pouvait supporter que quelqu'un crache sur le corps mort de son frère, sur sa tombe qu'ils venaient à peine d'enterrer. Il était faible, peut-être trop, pour s'occuper de qui que ce soit, même lui. Sauf qu'il l'avait quand même fait. Comme toujours, la famille avant tout, avant lui, avant ces propres sentiments. Il n'hésiterait jamais, pas pour ça. « Je suis désolé Aleks.. » Il sentit la main de Mason sur son épaule et il ne pu que faire l'ébauche d'un sourire qui finalement sorti en soupir. Il ferma les yeux un moment sentant la main lui tapé l'épaule. Ces lèvres vacillaient tranquillement et il dût se retenir de commencer à pleurer. « Je te laisse un minute vieux, tu descends après? » Il soupira, bien évidemment qu'il irait en bas afin de rejoindre ces soeurs et ces parents afin de les supporter. Il hocha la tête. « Ouais. Laisse moi une minute, s'il-te-plaît. » Mason lui tapa l'épaule une deuxième fois avant de sortir de la chambre. Même si Aleks était à l'étage supérieur, il pouvait entendre la voix de son ami parlé à quelqu'un, sûrement un vieux pote de Elias qui se demandait pourquoi son frère, son seul frère, n'était pas avec les autres au salon. « Arrête un peu, laisse le respiré, il était proche de lui, c'était son frère bordel! » Aleks prit une grande respiration avant de descendre. Aussitôt fût-il arrivé à la dernière marche que le portrait lui donna envie de pleurer. Sa mère était assise sur le sofa dans les bras de son mari et pleurait, gémissait, elle frappait même quelques fois dans un coussin. Son visage était déchiré par la douleur. Son père la serrait fort avec les yeux fermés, mais les larmes coulaient malgré ces paupières closes. Emily était assise sur une chaise et se mordait une lèvre pour ne pas pleurer davantage que les petites larmes qui perlaient ces joues et qui s’enchaînaient petit à petit. Il n'eu pas le temps d'aller voir qui que ce soit que sa petite soeur couru pour aller se logé dans ces bras. Adora pleurait comme jamais auparavant. Plus que Emily, mais moins que sa mère Susan. Son visage était rouge et gonflé. Aleks l'amena au salon, l'assis prêt de sa mère qui au lieux de prendre Adora dans ces bras l'étreignit lui. Elle le serra le plus fort possible, son père mettant un bras derrière le dos de Susan, réussi à aller toucher l'épaule de son fils. « Emily, viens ici. » Celle-ci ne tarda pas à venir s'asseoir avec eux, mais rebuta en voyant qu'il n'y avait plus de place nul part sur le sofa. Voyant qu'elle restait debout, Aleks de dégagea et alla la prendre dans ces bras en la serrant le plus possible, ne voulant pas l'étouffé. Lorsque tous deux se dégagèrent, Aleks amena Emily sur le sofa qui se loga entre Adora et lui, toute la famille s'étreignant sur le divan, les femmes pleurant à chaudes larmes, et les hommes essayant de se retenir pour les supporter.

Il lui donna des baisés dans le cou, elle souriait penchant la tête pour lui donner plus d'accès. Il l'aimait plus que tout, et de même pour elle. Ils avaient commencé par être amis, puis par être un couple. Pourtant, jamais ni un ni l'autre ne s'étaient dit ces mots magique, ceux qui normalement étaient dit pas des amoureux. Ces mots que tous et chacun rêvent d'entendre sortir de la bouche de leur bien-aimé. Jamais il ne se sentit capable de lui dire. Il ne lui démontrait pas beaucoup, il était un simple petit-ami qui ne répondait pas à la plupart des standards. Il préférait regarder un match de foot à la télévision plutôt que d'accompagné sa petite-amie dans des bars, de l'amener mangé quelque chose dans un restaurant. S'il avait un jour été gentleman et romantique, rien n'en restait de ce lui d'avant aujourd'hui. Chaque jour il la perdait, il le savait. Elle lui filait entre les mains, et lui comme un pauvre idiot ne pouvait pas la retenir, il en était incapable. Nul ne savait ce qui lui prenait de l'ignorer, de ne pas être là pour elle. Quelques fois, elle le regardait en attendant qu'il lui parle, qu'il ne daigne lui montré qu'un regard, qu'un geste d'affection. Ils avaient beaucoup plus l'apparence de colocataires qui dormaient dans le même lui qu'autre chose. Ils ne couchaient même plus ensemble depuis quelques mois, seulement quelques baisés simplet par ci et par là. La journée où Aleks le réalisa, il fût un peu trop tard pour réparé, pour changé, pour la retenir. Charlotte venait de rentré à l'appartement après sa soirée au bar. Lorsqu'elle aperçut le regard de Aleks sur elle, elle tressaillit. De son côté, il fronçait les sourcils. Il était là, debout, à la regarder habillé d'une chemise blanche et d'une jupe courte noire. Elle ne revenait certainement pas d'un bar. « Oh bonsoir. Tu m'attendais? » dit-elle d'une petite voix dans laquelle Aleks décerna un brin d'incertitude. « Ouais, c'est ça. » Son regard était rempli de dégoût. Il finit d'un trait le verre d'alcool qu'il avait dans la main puis alla en cuisine pour le déposer sur le comptoir. Elle s'approcha de lui, mit une main sur son bras et alla déposé un baisé sur ces lèvres. Un cours instant il ferma les yeux puis tourna le visage afin de se dégagé. Elle fronça le regard, ne comprenant visiblement plus rien. « Qu'est-ce-qu'il ya Aleks? » Il s'éloigna d'elle, en fronçant lui-même le regard. Puis d'un air plus sûr de lui, il se mit à raconté sa soirée. « J'ai réalisé que j'avais été un imbécile avec toi. Je voulais me racheter et quand j'ai vu ton texto, j'ai vu une opportunité. Alors je suis allé dans ce bar où tu vas toujours. Tous tes amis y étaient. Mais pas toi. Ils ont dit que depuis quelques semaines tu n'y allais même plus, tu préférais resté chez toi.  Aleks prit un pause pour soupiré. Sauf que, tu n'étais pas ici, avec moi, à l'appartement, chez toi. J'ai même appelé tes parents tu vois. Il lâcha un faux rire après cette réplique. Sur ton relevé bancaire, il est marqué que tu as été visité un hôtel. J'ai comparé avec les messages que tu m'as envoyé. » Elle comprit alors ce qu'il était en train d'insinuer. Il arrêta de parlé, il savait qu'elle venait de comprendre ce qui se passait. « Aleks.. » Il mit un main devant lui pour qu'elle cesse de parler. Il ne pouvait pas l'entendre sortit de sa bouche. Ce serait trop douloureux. « Tu m'as trompé. » Elle se mordit la lèvre, c'est tout ce qu'elle pu faire. Puis prenant une once de courage elle le regarda dans les yeux et soupira avant de parler.  « Oui, Aleks, je t'ai trompé. » Il fronça le regard et balança un vase contre le mur puis s'écroula sur un tabouret de la cuisine, les yeux baigné de larme et de haine. « Tout ce temps.. Tu m'as menti je-» Il releva le regard vers, qui voulait pleuré, mais qui visiblement se retenait. « C'est terminé Aleks. » Troublé, il ne comprit pas tout de suite. Sa tête bourdonnait, sûrement à cause de tout cet alcool qu'il avait bu pour noyer sa peine et son dégoût envers celle qui devait être sa petite amie. Elle de son côté fermait les yeux pour ne pas voir sa réaction. « Pardon? » Finit-il par dire. Le regard de Charlotte changea, elle ouvrit les yeux, sur le point de craquer et de se mettre à pleurer. « Me force pas à répété, je t'en pris. » Des larmes coulèrent sur ces joues ce qui mit Aleks en furie. Comment pouvait-elle pleuré alors qu'elle avait été la fautive qui l'avait trompé depuis plus d'un mois. Bien sûr, il n'y avait pas d'amour entre eux. Mais après tout ce qu'il avait vécu, après avoir perdu son frère, aimé et le démontré devenait difficile. « Alors pourquoi tu pleures dis moi. Si tu es celle qui me laisse tombé, qui remet en question mon amour, celle qui m'a trompé. C'est moi qui devrais être en train de te laissé. » Il avait raison, autant elle que lui le savait. Il devrait être en train de lui faire la morale, de lui dire à quel point elle le dégoûte mais rien de tout ça ne se passait. C'était en fait surprenant. Elle le quittait, elle. « Parce que tu ne serais pas capable Aleks. Depuis la mort de ton frère- » Si ces premiers mots lui donnèrent une gifle en plein visage, les derniers furent comme un coup de poignard en pleins coeur. Il l'arrêta, ne pouvant supporter qu'elle dise ces mots, qu'elle ne fasse que pensé à son frère le mettait dans une colère noire. « Je t'interdis de mettre le blâme sur mon frère! Je ne veux même pas que tu prononce son nom! » Aleks la regarda en fronçant les sourcils, il déglutit avant de baissé le regard et de prendre sa tête entre ces mains, se laissant tombé contre le mur du comptoir.  Pendant qu'il pensait à son frère, elle eu le temps d'allé chercher ces choses, de tout empaqueter. Il n'était plus lui-même, hors de ces gongs. « Je, je vais partir, d'accord? Aurevoir Aleks » Elle déposa un bref baisé sur sa tête avant de prendre sa valise et de quitté le petit appartement dans lequel ils avaient vécu en tant que couple pendant cette dernière année. Ils étaient des amoureux, des meilleurs amis et tout s'était terminé en l'espace d'une minute. Une vulgaire minute qui venait se foutre de la gueule de leur relation. Cette seule minute rendait leur relation stupide, sans importance, à néant. C'était comme si tout ce qu'ils avaient vécu venait d'être effacé. Les photos étaient vide, les vidéos, les souvenirs, tous devenaient sans amour, sans elle et sans lui. S'ils étaient aussi fougueux que Roméo et Juliette, ils étaient dorénavant aussi sombre et terne que deux anges avec les ailes arrachés et déchus au sol. Les carreaux de la salle de bain étaient froids, glacées même. Il s'en fichait. La froideur lui faisait du bien, lui procurait cette sensation qui lui rappelait que bientôt son corps serait aussi froid, enfin peut-être. Pourquoi, depuis que son frère était mort tout se précipitaient pour lui gâcher la vie, pour éteindre cette lumière vive qui régnait au fin fond de son corps, dans son corps. Si un jour il fût comblé de joie, de désir, de rêves, aujourd'hui tout ça n'était qu'éphémère. Tout ce qu'il avait un jour aimé venait de disparaître. Chaque personne autour de lui l'abandonnait, le laissait seul avec lui-même dans cette noirceur qui le terrifiait. Il était là, couché, sans expression, son corps presque inerte. Des larmes coulaient sur ces joues, lui picotaient les yeux. Il ne daigna pas les retirés, ça ne servait à rien. Tout comme lui. Si dans un monde meilleur tout avait été simple, il aurait pu en finir ici, là, maintenant, aller rejoindre son frère sans se soucier des autres. Mais il en était incapable. Le visage de ces parents, de sa petite soeur le terrifiait. Ô la peine qu'elle avait eu en voyant le corps de son frère inerte. Comment pourrait-elle supporté de perdre un autre de ces frères ? Le seul vivant qui lui restait. Son coeur se déchirerait, serait meurtri de chagrin et de noirceur. Exactement comme celui de Aleks. Il respirait difficilement, mais arrivait tout de même à survivre. Sa vue était embrouillé. Lorsqu'il reprit conscience de sa vie, de son état, de son corps, il était dans son lit, sa petite soeur à côté de lui avec ce sourire charmeur, heureuse qu'il reprenne conscience. Elle était tout ce qui lui restait, sa cadette. Il lui caressa la joue, manquant rechuté et pleuré de nouveau. « Tu es là.. » Elle souria, les larmes au yeux, sans doute effrayé. Elle serra doucement la main se Aleks encore sur sa joue. Sa petite soeur, qu'il adorait, qu'il avait promis de protégé. « Tu m'as foutue une sale trouille Aleks. Je, je croyais que- » Elle ne put finir sa phrase, baissa le regard et la tête en même temps. C'était trop de se rappeler tous ces événements. « Je n'aurais jamais pu te faire ça. » Ces yeux verts croisèrent ceux de sa soeur, qui avait maintenant des larmes qui coulaient sur ces douces joues. « Tu étais couché sur le carreaux, tu ne bougeais plus et-. » Elle se mit à pleuré de plus belle en le regardant. Il était bel et bien vivant. Aleks ne pu s'empêcher de pensé à la vision d'horreur qu'elle racontait. « Je croyais que tu ne respirais plus. J'ai crié, oh Aleks, j'ai tant crié. Tu n'es jamais redevenu conscient. » Il se sentit alors mal, trop mal, très mal. Sa petite soeur venait de lui dire à quel point son état avait été grave. C'était une expérience traumatisante pour elle, de perdre un frère. En perdre un deuxième devait être encore pire. Surtout de découvrir le corps inerte. « Chut, ça va Adora, je suis là. Je ne te quitterai plus jamais, je te le promet. » Elle grimpa sur le lit et se coucha tout prêt. Il la prit dans ces bras, et tous deux passèrent le reste de la matinée collé dans les bras l'un de l'autre.

Le destin. C'est ce qui arriva cette journée-là. Aleks Bethels ne s'était pas réveillé de si mauvaise humeur, mais avec le pied gauche sortit du lit en premier, ce n'était déjà pas prometteur. Il prit une douche, s'habilla et partit en ville en chaussant ces lunettes de soleil. C'est là que le destin décida de se mettre dans sa route. Alors qu'il avançait dans les rues de Brooklyn, une chevelure brune le percuta de plein fouet, renversant son café son chandail rouge et son jean. Il serra les dents en sentant la chaleur, sans poussé le moindre cri. La jeune femme était malheureusement tombé au sol, parsemé de café sur ces magnifiques vêtements. Aleks se pencha pour lui tendre la main. « Ça va? Rien de cassé? » Elle hocha la tête, en le regardant, mettant sa main en visière pour distinguer son visage. Il retira alors ces lunettes avec un charmant sourire, qu'aussitôt elle lui rendit. « Oui. Je suis désolé, vraiment. » Il l'aida à se relever, s'assurant qu'elle soit belle et bien correcte, sans blessure ni rien. « Ne vous inquiétez pas, j'étais distrait. » Il continua de la regarder et remarqua que tous les deux étaient couvert de café, comme si le petit goblet avait été rempli de deux litres de cafés et apparemment de sucre, d'extrait de vanille et de lait. « Oh non! Votre chandail! » Elle semblait être alerté par le fait qu'il soit couvert de la boisson chaude qu'elle venait de lui éclaboussé dessus. « Et le votre également. » Presque aussitôt elle regarda son chemiser et soupira, visiblement découragée. « Et merde, manquait plus que ça. » Aleks replaça une mèche de cheveux brune qui traînait sur le visage de la jolie demoiselle. « Je vous dois un café je crois. Pourquoi ne pas aller s'acheter des vêtements et aller le prendre ensemble, ce café? » Un lui fit un doux sourire et remarqua à ce moment la beauté de son visage. Elle avait ce visage doux, naturel et sans trop de maquillage, entouré d'une chevelure brune épaisse qui flottait dans la légère brise. Elle replaça avec une main sa frange, rendant le geste à proprement dit, sexy même si elle ne devait pas s'en rendre compte. Il continuait de la regarder, de l'observer, autant elle que les moindres faits et gestes qu'elle pouvait faire sans s'en rendre compte. « Je ne sors pas avec les étrangers. »  Aleks se prit d'un léger rire. Ils ne se connaissaient pas et il était rare qu'il propose un café à quelqu'un qu'il n'avait jamais rencontré auparavant, sauf le moment même. « Je suis Aleks, voilà. Vous savez tout de moi. » Elle se mit à rire. Chose qui le rendit plutôt joyeux. Son sourire était une caresse à ces oreilles, et avant même qu'il ne puisse s'en rendre compte, il s'éprit de cette étrangère. En tombait fou amoureux, voulait en savoir davantage. « Faye. Et je serais ravi de prendre ce café avec vous. » Un éclair jaillit dans la tête de Aleks. Ce prénom ne lui était pas étranger. Il l'avait déjà entendu quelque part. C'est à ce moment qu'il se souvenu d'un détail en particulier. Lorsqu'il avait été dans ce bar, une jeune femme brune lui avait dit que Charlotte était censé être chez elle avec son copain. Bien évidemment, elle ne devait pas savoir que devant elle se dressait le petit ami qu'elle venait juste de cité. C'était donc elle, l'autre fille non-célibataire de la bande de Charlotte. « Faye comme celle qui m'avait gentiment dit au bar que ma petite amie était chez elle avec son copain? » À ce souvenir il se mit à légèrement rire. En fait, il ne pensait plus à son ex petite amie, mais au visage innocent et à la voix fine - surtout la robe sublimement sexy qu'elle portait - dont elle avait fait preuve. « Oui. Oh mon dieu, je suis désolé, je ne savais pas que. Enfin.. » Aleks se mit à sourire, d'une façon douce. Bien évidemment elle ne pouvait pas savoir que Charlotte le trompait et qu'il était son petit ami. Elle était une victime de toute cette histoire, la pauvre. « Ne t'en fais pas pour ça. Tu ne pouvais pas savoir qu'elle me trompait. » Soudainement, le petit geste qu'elle effectua le fit sentir étrange. Elle se mordit la lèvre, tout innocemment. Il se souvenait de la façon dont Charlotte le faisait. C'était lorsqu'elle se retenait de pleuré. De son côté, la prénommé Faye le faisait par culpabilité, par timidité. Ce qui rendait le geste encore plus craquant qu'elle ne pouvait se l'imaginé. « J'ai la mémoire d'un poisson rouge, tu vois. » Elle se mit à rire, à nouveau, avec ce petit rire charmeur, digne de son jolie visage. « Vêtements puis café? » Elle hocha la tête, laissant un Aleks tout joyeux. « Pourquoi pas dîner à la place? Le temps qu'on choisisse des vêtements, il sera déjà l'heure du dîner. » Et dans un sens, elle avait bien raison. Mais tout ce que la tête de linotte de Aleks pu se rappeler, c'est le fait qu'elle venait de l'invité à dîner. Ou en somme, de le proposé et de l'insinuer. « Oh, comme un rendez-vous. Oui, c'est bien. Faisons ça donc. » Aussitôt qu'il dit le mot "rendez-vous" les joues de la brune en face de lui s'empourprèrent de rose. Tous deux partirent en direction des magasins, cherchant des vêtements de remplacement.
Le temps passait vite, très vite. Surtout lorsqu'on habite dans une ville comme New York et qu'on vit de façon heureuse et non malheureuse. Aleks Bethels était dans la cuisine, en train de cuisiner quand il entendit la porte d'entré ouvrir. Quand il n'était pas à la caserne de pompiers de Brooklyn, il était là, dans son appartement, à faire la cuisine pour sa tendre moitié. Celle-ci arriva dans la cuisine en moins de deux, attiré par l'odeur et la curiosité. Aleks lui fit un sourire avant de se diriger vers le réfrigérateur afin de prendre une bouteille d'eau et de la tendre à la brune. « Alors, cette journée de travail? Pas trop mal? » Il retourna à la cuisinière tout innocemment afin de brasser quelque chose dans une poêle, refermant avec un dessus lorsqu'il eu terminé afin de laissé reposé. Il ferma les feux, ayant déjà terminé le repas que tous deux prendraient plus tard. « Oui, ça peut aller. » Elle semblait épuisé de sa journée, ce qui la rendait mignonne tout compte fait. Aleks se dirigea vers elle, prit le siège à côté d'elle prêt du comptoir, puis s'avança pour posé ces lèvres sur celle de Faye Oswald, sa petite-amie. « Tu veux une coupe de vin? » Il enlaça ces doigts avec les siens, tout sourire. Il savait très bien qu'après tant d'effort elle apprécierait de boire un peu de vin. Au lieu d'hocher la tête, elle grimaça. Aleks fronça les sourcils, ne comprenant pas. Était-elle blessé? Des courbatures? « J'avais un rendez-vous chez le médecin, à propos de ces maux de têtes et de mes vomissements. » Soudainement il se rappela qu'elle lui avait dit quelques jours plutôt qu'elle avait prit rendez-vous pour qu'il arrête de s'inquiété. Elle ne s'en faisait jamais pour sa santé, tombant malade en un rien de temps. « Oh et alors? » Tout à coup le visage de Faye changea. Ce n'était plus d'épuisement mais plutôt d'anxiété. Aleks pensait au pire dans sa tête, à toute sorte de scénario. Il la regarda tendrement, mais incertain de la réponse qu'elle allait lui dire. « Aleks je-. Je suis enceinte » Ce fût comme si un éclair lui transperçait le corps, comme si quelqu'un l'avait assommé. Tout d'abord ce sont ses membres qui devinrent mou, comme s'il n'avait plus de muscle, qu'il était fait de spaghetti. Ensuite, sa vu se brouilla, sa bouche devint à sec et il perdu notion de tout autour de lui. Sa main, toujours dans celle de Faye lui rappelait qu'il était dans le monde réel et qu'elle devait attendre de voir sa réaction. Bien que tout ce qu'il venait de traversé est paru prendre énormément de temps, ce n'était que superflu. Elle ne pouvait rien voir, sauf peut-être la surprise dans ces yeux. « Oh mon dieu. » Il venait à l'instant de se rappeler qu'ils avaient vaguement abordé le sujet, Faye mentionnant qu'elle était incertaine et Aleks qui l'avait rassuré en soulignant qu'ils n'étaient pas forcé en rien. Elle seule était déjà un énorme cadeau, il n'avait pas besoin de plus. « Aleks.. » Ce fût tout ce qu'elle pu articuler en le regardant, en ignorant toujours son état d'esprit. « C'est.. merveilleux. Je veux dire.. C'est vraiment super, mais tu ne voulais pas d'enfant, Faye. » Il serra doucement sa main, montrant qu'il la supportait peu importe le choix qu'elle prendrait, peu importe sa décision. « Mais maintenant que ça arrive, je me dis que j'avais peut-être tord. » Elle le regardait, de petites étoiles dans les yeux. Aleks connaissait ce regard, c'était celui qu'il voyait tous les matins quand il se réveillait à ces côtés, chaque fois que tous les deux réalisaient que tout ça, leur amour, leur vie commune était réel. « Oh mon dieu.. On va avoir un bébé. Tu vas avoir un bébé. » Aleks venait à peine de réalisé ce que cela impliquait vraiment, il se leva et prit Faye dans ces bras, la forçant à se lever. Il la fit tournoyer en la serrant fort, puis l'embrassa. C'était un des moments les plus beau de son existence, très certainement. « Je t'aime Aleks. » Il la regarda dans les yeux, posant sa main sur sa joue. « Je t'aime aussi Faye. » Puis ils recommencèrent à s'embrasser.
« Vieux, respire. » Son meilleur ami était debout à côté de lui dans son appartement. Sa voix lui parvenait de loin, de très loin. Il n'entendait presque plus rien, sa vision de brouillait, ces mains tremblaient, le battement de son coeur était lent, très lent et en plus, il avait de la difficulté à respiré. « Je.. peux.. plus.. respiré. » Réussi-t-il a dire au bout d'un moment. Mason mit sa main sur son épaule, ne sachant pas comment agir avec lui. « Aleks, tu fais une crise de panique. Calme toi, ça va aller. » Une quoi? Aleks ne pu entendre comme il faut, mais il était à priori sûr qu'il avait dit crise de panique. Ce qui impliquait en gros, qu'il pétait un plomb, pris de panique, de stress et de toute ces conneries. C'était la première fois que ça lui arrivait. Et la raison était la plus nulle qui existe. « Respire, ça va passer mais tu dois respiré. Pense à autre chose. » Bien que Aleks veuille suivre les instructions de son ami, c'était presque impossible. Il tenta de pensé à autre chose, se concentra, puis finalement, il pu reprendre son souffle, sentant son coeur commencé à battre plus ardemment. « Ça va, je vais mieux. » Mason soupira. C'était le pire qui pouvait lui arrivé aujourd'hui. Aleks qui pétait une crise de panique en pensant que dans quelques mois, dans moins d'une année, il serait un vrai père. Depuis le temps que tous les deux se connaissaient, jamais Mason n'avait vu son meilleur dans cet état. « Bon dieu, ça t'effraie tant que ça? » Au lieu de parler, Aleks hocha la tête. C'était mieux de respiré, de reprendre son souffle que de prononcer des mots. Après quelques minutes, il put enfin prendre la parole. « On voulait pas d'enfant. Je veux dire, on avait jamais pensé que ça se produirait sans qu'on le veuille véritablement. » Il était mort de peur, étant certain qu'il serait le pire père. Mais d'autre inquiétude venait. Chaque jour de travail il mettait sa vie en danger. Être pompier avait ces avantages, mais aussi ces inconvénients. Il était hors de question qu'il ne soit jamais à l'appartement avec Faye et le bébé.  « Qu'est-ce-que vous allez faire alors? Elle va avorter? » Ils en avaient parler, vaguement. Pour elle, il n'était pas envisageable qu'elle avorte, qu'elle tue leur enfant. Aleks avait été soulagé qu'elle pense comme lui. Ils s'étaient résigné après plusieurs discussions de garder le bébé. « Je vais changé de job déjà. On aménagera la chambre qui sert d'entrepôt pour Faye, on s'organisera. » Il se passa un main sur le menton, en réfléchissant à tout ça. « C'est pas pour faire mon rabat-joie, mais ton appartement est bien trop petit pour trois. » Aussitôt que son ami eu fini de parler, Aleks le regarda surprit de cette révélation. Il avait bien raison. Aussitôt, il se leva, prit son ordinateur et commença à regarder sur le net. (...) Faye rentra rapidement de son boulot, elle avait encore des nausées et préférait rentré. Aussitôt qu'elle passa la porte, sa vision qu'elle eut, lui fit un choc. Aleks était debout avec un petit boitier, et un sourire presque désolé sur le visage. « Cadeau de mon anxiété? » Faye fronça le regard, prit la petite boîte et l'ouvrit. Dans le fond se dressait deux clés avec un petit enveloppe en caoutchouc en forme de maison. Son visage devint surpris et elle se mit la main sur la bouche, la retirant après quelques secondes pour parler. « Tu as achetés une maison? » Aleks hocha la tête, bien qu'il soit encore anxieux de sa réaction. « Disons plutôt un appartement luxueux. Avec mon boulot de pompier et ma redirection en tant qu'avocat, j'ai économisé assez pour acheter une nouvelle voiture. Au lieu de ça, j'ai acheté une maison. » Depuis toujours, il rêvait d'avoir une nouvelle voiture, s'était un énorme sacrifice qui déclencha des larmes chez Faye. « Tu as sacrifié ta voiture pour moi? Pour le bébé? » Aleks ne pu tenir plus longtemps à la vu de Faye qui pleurait. Il s'approcha et la prit dans ces bras, doucement. « On allait tout de même pas stocker le bébé dans la pièce qui te sert de rangement. » Elle se mit à rire et il l'accompagna. Tous les deux passèrent un moment dans les bras un de l'autre. Ils avaient un nouvel appartement, étaient amoureux et attendaient un enfant. Rien ne pouvait les rendre plus heureux.

Aleks Bethels a écrit:

dédicasse, autres To the alpha shadou: I am the alpha now.  Get over it.

  

Bienvenue et bon courage pour ta fiche  

tyler  
excellent choix et bienvenue parmi nous  

Faye Oswald a écrit:

Babe.  
Merci à vous les filles. Et oui, I am the alpha.  

Bienvenue sur le forum.