✤ this is a bad town for such a pretty face.
William est passablement lassé par son existence, il est embourbé dans un mariage ou l'amour s'est essoufflé, le divorce lui prend toute son énergie et son travail l'ennui au plus haut point, il se juge pourtant étrangement trop âgé pour se perdre en futilité et essayer d'en changer. ♢ Il ne boit rien de ce qui possède de la caféine, soda ou café, peut importe, il ne supporte pas ce genre de chose, notamment parce que ça le rend souvent plutôt malade. ♢ William a été éduqué avec des principes assez vieillot ce qui lui donne parfois des allures vieux jeu mais il sait contrebalancer ça par sa façon d'être qui est plutôt à l'opposé. ♢ Souvent trop gentil, il a perdu beaucoup à vouloir aider des gens qui n'ont fait que lui planter des couteaux dans le dos. Sa rancune, toutefois, est bien tenace et lorsqu'il vous en veut pour certaines choses, il est impossible de l'en faire démordre. ♢ Crédule sans être stupide, il est du genre à donner sa confiance facilement, pour lui, tout le monde est sincère jusqu'à preuve du contraire mais une fois preuve faites, vous perdez cette confiance avec très peu de chance de retour. ♢ S'il avait eut le courage de faire ses propres choix au moment du décès de son père, il se serait diriger vers la médecine, se rêvant chirurgien de renom . ♢ William a toujours cru que sa femme serait celle qu'il aimerait jusqu'à la fin de sa vie, d'une certaine façon, voir que ce n'est pas le cas change sa manière de voir l'amour, ça ne semble désormais être pour lui qu'une source d'inévitable conflit futur. ♢ Ni pessimiste, ni optimiste, Will est de ses personnes parfois presque barbante qui reste dans le basique, le réel, le tangible. Il a arrêté de rêver il y a trois ans, quand ses relations avec sa femme se sont effritées. ♢ Will possède un chien, un husky plutôt grognon surnommé Ska (de son prénom Alaska). Il l'a adopté il y un an et demi lorsqu'il a prit son propre appartement. ♢ William a une fille de vingt ans, il l'a eu très jeune avec celle qui est encore aujourd'hui - mais sans doute plus pour longtemps - sa femme. C'est l'une des raisons pour laquelle ils avaient, à l'époque, décidé de se marier. ♢ Sa mère a toujours été partagée au sujet de son fils, souvent déçu par son comportement, notamment le choix de sa femme, son enfant eu trop tôt, sa façon de mettre ses désirs personnels au placard mais également fière, de voir qu'il gérait toutes les situations, qu'il prenait soin de sa famille. Cette contradiction leur a toujours valu des rapports conflictuels. ♢ William a peur des gens malades, gravement malade s'entend, c'est plus fort que lui. Depuis que son père est mort d'une arythmie cardiaque, il s'éloigne par tout les moyens des personnes doté de ce qu'il appelle une mort à retardement. Ca passe souvent pour un manque de respect, il ne supporte tout simplement pas l'idée d'accepter de rester aux côtés de quelqu'un qui semble mourir sous ses yeux. ♢ Il gère très mal les émotions fortes, une importante colère ou une grande tristesse le déstabilise complètement, il démarre au quart de tour et c'est sans doute ce qu'on peut le plus lui reprocher.
✤ Regrets collect like old friends.
Joanne Marlow - Des gamins qui n'y connaissaient rien, une histoire d'amour qu'il voyait s'ancrer dans les plus belle de l'histoire, parce qu'à cette époque, ils s'aimaient comme de rares peuvent s'aimer. Ils étaient jeunes, peut-être trop, mais tout semblait simple, tellement logique et tellement beau. L'histoire d'une rencontre hasardeuse, des cours mutuels donnés le soir, des éclats de rires, des regards qui en disent long, des lèvres qui se retrouvent, des mains qui se joignent, des mots qu'on se dédie [...] «
Au final je crois que j'ai foiré mon examen, je te jure, ça tournais dans ma tête, je savais que je connaissais les réponses mais je ne parvenais pas à tout remettre en place dans mon esprit. Comme si un ouragan y était passé tu vois ? Du coup je crois pas que ... » «
Je crois qu'on devrait se marier. » [...] des draps qu'on souillent et des simili-erreurs qu'on arrangent, toujours à deux.«
Quoi ? Mais … Will, je n'ai même pas dix-huit ans. » Même pas dix-huit ans. La jeunesse encore accrochés aux phalanges, une vie d'idéaux entachés par le réalisme qui vient leur offrir ce que les adultes qu'ils ne sont pas rêveraient d'avoir. William esquisse un sourire, vague, incertain, qui se veut pourtant assuré. «
Qu'est-ce que ça peut faire ? Tu m'aimes, pas vrai ? Et je t'aime au moins autant. Avec ce bébé qui va arriver, je crois qu'en fait, le moment ne peut pas être mieux choisi. Je crois pas au destin mais je suis sur que ça doit se passer comme ça. Ça fonctionnera toujours entre nous, toujours. J'en suis certain. » Elle l'a jaugé, de son regard claire qui a toujours su l'hypnotiser, avec cette manière étrange de vous happer, de vous faire tourner dans tout les sens, de vous faire oublier le monde. Puis elle a sourit, d'une manière infime, presque imperceptible. Mais il avait si souvent laissé son regard observer le visage de Joanne qu'il pouvait y déceler chaque vibration, celle d'un sourire qui dit oui, il pouvait le déchiffrer plus que nul autre.
Des esquisses de sourires sous un soleil couchant,
des promesses d'avenir sur des rêveries d'enfants.
Wynona Archer-Rhodes - Une main vient se glisser sur l’épaule de William, douce et bienveillante, reconnaissable entre mille. Son corps svelte se courbe pour s'asseoir à côté de lui, dans un morne silence. Chacun d'eux se contente de fixer avec un étrange intérêt la pierre de marbre qui orne le parterre fraîchement retourné. «
T'es sûr de toi ? Franchement Will, c'est stupide de faire ça, t'es pas fait pour ça, ce monde-là … tu t'y feras jamais, c'est pas toi, c'est pas ton genre. » Sa voix cristalline brise le silence comme un coup de hache sur du bois, venant briser le fil des pensées de son aîné qui ne cesse pourtant pas de fixer les mots gravés sur l'ultime demeure d'un paternel laissant un souvenir impérissable. «
Ecoute, je sais que tes études ont toujours été une source de conflit avec papa mais je vois pas pourquoi tu nous sors ce sentiment de culpabilité maintenant, qu'il soit mort ou non, ça ne change pas le fait que tu n'ai jamais eu envie de reprendre sa boîte et tu n'as pas à le faire maintenant, même s'il n'est plus là. » Elle déblatère mais William connaît chaque syllabes de sa tirade, elle la lui répète depuis trois jours déjà, les mêmes intonations, les mêmes mots – sauf si son imagination fertile lui donne un synonyme plus enrichissant que celui qu'elle employait déjà – et lui, il lui offrait la même réaction empreinte d'indifférence. Mais pas cette fois. Cette fois, il était lassé d'entendre dire qu'il ne faisait pas le bon choix. «
Il faut que je le fasse Winnie, ne me demande pas pourquoi. Je ne dis pas que c'était mon rêve. Mais là, tout de suite, j'en ai envie. Je crois que j'en ai besoin aussi. » Elle soupire comme une enfant qui n'a pas ce qu'elle veut, tournant son corps de femme-enfant vers lui, avec le regard déterminé de la femme mature qu'étrangement elle a toujours été. «
Ton jugement est guidé par ta tristesse. » «
Non, il est guidé par le sens du devoir, celui que j'aurais du avoir depuis le départ. » La confrontation de leur regard ferait presque mal à Will: derrière les sombres yeux de a cadette, il y perçoit le regard de son paternel. Leur ressemblance avait toujours été une des choses qu'elle partageait davantage que Will avec leur père. «
Plus tard, tu verras, tu le regretteras Will. » Il détourne lentement la tête, conscient qu'une part de vérité se cache derrière ses paroles.
Weston Archer-Rhodes. Beloved father and husband. Peut-être qu'il le regrettera, c'était même une certitude. Mais qu'importait pour l'heure ? Il voulait seulement honorer la mémoire d'un défunt.
Veuillez sortir les étoiles de vos poches, de vos cheveux, de vos yeux.
[…] vos sourires, vos souvenirs, vous n'en aurez plus besoin là ou vous allez maintenant.
malzieu
Joanne Archer-Rhodes - Une porte qui claque, un regard qui frappe, une phrase qui tue. «
Je suis fatiguée William, fatiguée. Louise va bientôt faire sa rentrée au collège et tu n'as fais que des passages coups de vents dans cette maison, je sais que ton père est mort l'année dernière, que tu reprends sa société mais … non, je suis fatiguée, vraiment trop fatiguée Will. » William qui se meurt, crève de peur. Il voit toute son existence dans les mains de Joanne qui lentement écrase chaque parcelle du passé au seul nom d'un futur incertain qu'elle veut bâtir ailleurs, d'une autre façon, avec d'autres personnes. Sans lui, en tout cas. Une forme de tristesse enragé ronge le cœur de Will, dont l'apparence stoïque ne fait que dissimuler un malaise qui se fait de plus en plus palpable. «
Si tu arrêtais de nous faire perdre notre temps et que tu me disais réellement ce que tu veux de moi. De nous. » Quelle idiotie. Perdre son temps, il l'aurait bien voulu, des heures, des années encore simplement pour ne pas l'entendre dire ce qu'elle voulait asséner avec sa détermination poignante. Devenir sourd pour ne jamais percevoir le son de sa voix, aveugle pour ne pas voir son regard convaincu de faire le bon choix, insensible pour ne plus sentir contre son cœur les claques invisibles qu'elle lui mettait dans son silence menaçant. «
Rien, justement. Je crois qu'on a besoin de faire une pause tout les deux, de voir où ça mène de continuer de vivre chacun de notre côté. » La vérité a des airs de poison que William respire pour mieux se tuer. Il cherche des mots qui ne viennent pas, des réactions qui ne se font pas. Simplement une misérable inertie et sa bouche qui laisse échapper une question plus que réthorique. «
Est-ce que tu … attends, Joe t'es pas sérieuse ? » Mais si, si elle l'était et il le savait. Il devait trouvé mieux, un moyen de lui dire de rester. Pourtant tout ce qui se faisait en lui, c'était un brasier, prêt à exploser, une fébrilité nerveuse qui le rendait irritable au possible. «
Après toutes ses années, tout ce qu'on a vécu, tu veux qu'on agisse comme des gamins ? Qu'on face un ''break'' et qu'on avise plus tard ? Quand ? Dans deux mois ? Deux ans ? Je t'aime, tu le sais, ça ne suffit pas ? » Silence électrique. Deux corps statiques. Puis les mots de Joanne, qui se détache et viennent s'exploser contre Will. «
J'ai juste besoin de temps. » Du temps. Et déjà, les graines du sablier semble s'écouler lentement. Trop lentement.
Ces yeux mystérieux ont d'invincibles charmes
Pour celui que l'austère Infortune allaita
baudelaire
Ione Carstairs - Il a attendu, par respect d'abord, puis aussi parce qu'il ne voulait pas être un voleur, ni un fantôme. Il ne voulait pas que Ione l'attende le soir, vienne sonner chez lui ou attende indéfiniment un retour qui ne viendrait jamais. Parce que oui, il partait, il s'enfuyait lâchement, loin d'elle et de tout ce qu'il avait prévu. Déjà à son départ, leur relation avait été particulière, Joanne venait de demander à William de faire un break, et il avait rencontré cette lycéenne, âgée de tout juste dix-sept ans, la vie encore en face d'elle quand lui avait déjà laissé la trentaine se passer. Il aurait pu être arrêté pour avoir laissé la jolie blonde entré dans sa vie, mais pour une raison qu'aujourd'hui encore il ne saurait justifié, il l'avait fait. Sans regret, si ce n'est celui d'avoir dû, ce jour-là, à peine quelques jours après avoir apprit sa grossesse, s'en aller et l'abandonner lâchement à son sort parce qu'il s'imaginait un futur plus radieux dans les bras de Joanne qui l'attendait. «
Il faut que je partes. » La porte s'est à peine refermée sur Ione que la phrase sort d'elle-même, à brûle pourpoint. Il avait imaginé mille et une façon d'oser dire « c'est fini » mais celle-ci était de loin la pire. Et au regard de la jolie blonde, il ne faisait aucun doute que la formulation n'était pas bonne. «
Que tu partes ? Alors qu'il y a encore quelque jours tout allait bien ? Avec ce bébé qui va arriver? » Mais il y a quelques jours, Joanne n'était pas revenue. Elle n'avait pas dit qu'il lui manquait, elle n'avait pas dit qu'elle voulait de nouveau être avec lui, elle n'avait pas dit que leur famille avait besoin d'être soudé et qu'ils s'aimaient depuis leur jeunesse, qu'ils s'aimeraient toujours. Elle n'avait à ce moment-là encore rien dit de tout cela et désormais, la présence de Ione dans sa vie semblait impossible, une part de lui en était désolé et aurait voulu rester auprès d'elle, si douce, joviale et pleine d'entrain, aurait voulu être auprès d'elle quand elle aurait accouché. Mais William avait apprit, depuis la mort de son père, que les choix étaient parsemés de conséquences parfois lourdes à accepter. «
Ca n'aurait pas du se passer comme ça Ione. Je suis marié, t'entends ? Marié. Et j'ai une fille, qui est déjà née et qui a besoin de ses deux parents auprès d'elle. Je sais que ça semble compliqué à comprendre pour l'instant, mais Joanne et moi on est ensemble depuis tellement longtemps .. les choses sont comme ça, c'est ma famille. Elle et Louise, elles sont tout ce que j'ai et c'est comme ça que ça doit être, que ça devra toujours être. Je sais que pour l'heure tu as l'impression que je te trahis mais comprend que pour ma famille, c'est la meilleure chose que je sois en mesure de faire. » Il aurait voulu qu'elle puisse comprendre mais était-ce seulement possible ? Dix-sept ans, enceinte, persuadé que cet homme de trente-et-un ans saurait être mature, être présent pour elle. Non, elle ne pouvait pas comprendre et s'était normal. Et lui … oh lui il avait l'impression d'avoir la fâcheuse tendance de mettre des filles enceinte à dix-sept ans, sauf que cette fois, il ne pouvait pas épouser Ione comme il avait épousé Joanne à l'époque, par amour et parce qu'il croyait que leurs vies étaient faites pour être liées à jamais. «
Dégage d'ici. » C'est son choix, de s'en aller, de la quitter. Pourtant lorsqu'elle assène ses mots, il souffre comme il a rarement souffert dans sa vie. Dans un souffle de vague espoir, il murmure un «
Je suis désolé. » et quitte les lieux.
Beauty queen of only eighteen
She had some trouble with herself
maroon 5
Joanne Archer-Rhodes - Joanne et William, ils en avaient vécus des choses ensemble, l'amour dès ses débuts, les premiers émois, toutes les premières fois, c'était ensemble. Il avait eut Louise quand Joe n'avait que dix-sept ans, c'était mariés la même année et n'avaient jusque-là jamais cessé de s'aimer. Ensemble, ils avaient surmontés la mort de Weston Archer-Rhodes, la dépression de la mère de Will, l'entrée à l'armée de l'aîné de Joanne. Leur couple avait survécu à l'ennui de leurs vies monotones, à un break de plusieurs mois, à l'adolescence tourmenté de Louise, à ses crises lors de ses passages à vide. Ils avaient traînés leur couple les années qui suivirent malgré l'amour qui s'envolait. Joanne et William ? Ils semblaient parés à surmonter toutes les épreuves, à finir ensemble, pour le meilleur et pour le pire. Mais aux yeux de Will, le pire avait ses limites. Et celles-ci s'arrêtaient à la tromperie. Il aurait pu essuyer les aventures de sa femme durant le fameux break ou lui-même avait côtoyé Ione, mais il ne pouvait pas comprendre qu'elle eut pu poursuivre sa relation avec cette homme alors qu'elle avait, dans le même temps, s'enquit sa présence dans la maison familiale pour repartir de zéro. «
Tu ne comprend strictement rien William! » Une heure déjà. Une heure que Joanne tentait vainement de justifier l'adultère qu'elle faisait durer depuis presque six ans, qu'elle traînait comme un secret si lourd qu'il avait finit par devenir plus gros qu'elle, jusqu'à être percé à jour. «
Non, t'as raison, je comprend pas. C'est toi Joe, c'est toi qui m'a dis que c'était trop dur sans moi, c'est toi qui a voulu qu'on retente notre chance, c'est toi qui voulait qu'on soit une famille, c'est toi qui est revenu me chercher ! Et pourtant, depuis tout ce temps t'as jamais arrêté de te faire sauter par ce type ! L'idée même de le laisser tomber ne t'as jamais effleuré l'esprit, t'as préféré mentir pendant six ans au lieu de redonner une vraie chance à ta famille. Non, t'as raison, je comprend rien. » «
Je lui redonne une vraie chance, je veux que ça marche Will, pour Louise, puis pour nous aussi. Je peux le laisser tomber, je peux vraiment. » Pour la première fois, les larmes qui perlent aux yeux de Joanne ne parviennent pas à émouvoir William, trop d'années se sont écoulés, trop de temps et d'épreuves ont fini par faire s'essouffler aussi bien l'amour qu'il avait pour elle que le respect, qui s'était lui-même envolé à la découverte de l'adultère. «
Si tu pouvais, tu aurais du le faire il y a six ans. C'est fini Joanne. J'ai donné presque vingt ans de ma vie pour toi et regarde, regarde ou est-ce que ça a mené. » «
William .. » «
Je vais retourner à l'appartement, garde la maison, j'appelle un avocat dès demain, on aura pas grande difficulté à séparé nos biens, je suis persuadé que pour nous deux, un divorce rapide sera la meilleure chose à faire. J'irais parler à Louise. » C'était à son tour d'être fatigué. Fatigué d'espérer que leur couple pourrait fonctionner jusqu'au bout, pour eux ou pour Louise. Voilà presque sept ans qu'il se battait pour que sa marche mais force était de constater qu'ils n'avaient désormais plus d'avenir ensemble. Tout du moins, s'ils en avaient encore, Will lui, n'en voulait plus. Leur amour avait été comme ceux des films, magnifique, presque mythique, faites de pleurs, d'éclat de rire et de bonheur inoubliable … mais tout le monde savait que les films avaient une fin.
You took my soul wiped it clean
Our love was made for movie screens
kodaline
✤ Same old empty feeling in your heart.
pseudo, prénom winding.road, kitana
âge et pays vieille, france
célébrité daniel gillies
fréquence de connexion comme je peux
commentaire, avis il est choueeeeette
dédicasse, autres euh bah non aha.